Veolia a publié la deuxième édition de son baromètre de la Transformation Écologique, en partenariat avec le cabinet d'études et de conseil Elabe.
Face au mur climatique et écologique, le débat public est entré dans une nouvelle phase. Conscientes des risques environnementaux pour leur santé et leur qualité de vie, les populations du monde entier exigent une action.
Les solutions existantes sont largement acceptées, mais les stratégies pour les mettre en place peinent à se structurer sur des bases communes.
Pour en savoir plus, consultez l'édition 2024 du baromètre de la Transformation Écologique :
- L’étude mondiale dans son intégralité
- Une synthèse des premiers enseignements
- Des solutions concrètes
- Télécharger l’édition 2024
Un aperçu global provenant de 26 pays sur cinq continents
Le baromètre de la Transformation Écologique couvre 26 pays1 sur les cinq continents, représentant ainsi un échantillon de plus de la moitié de la population mondiale.
Ces pays ont été retenus en raison de leur poids démographique et de leur pertinence, notamment ceux qui se trouvent en première ligne du dérèglement climatique et qui sont précurseurs dans les politiques écologiques.
Le baromètre de la Transformation Écologique a pour objet d'évaluer l'acceptabilité globale et locale des solutions écologiques existantes, en mettant au jour les freins et les leviers qui influent sur leur mise en œuvre.
C’est une étude riche d’enseignements pour faire avancer le débat et nous permettre de mieux comprendre comment réaliser la transformation écologique.
Les premiers enseignements du baromètre
L'impact du dérèglement climatique sur les population
des habitants du monde se sentent exposés et vulnérables à un risque lié au dérèglement climatique ou aux pollutions.
se sentent exposés et vulnérables à un risque pour leur santé (dont 64 % d’être en moins bonne santé et 58 % d’avoir des problèmes de santé mentale).
La nécessité du changement pour améliorer la vie quotidienne
des habitants du monde sont convaincus que l’inaction coûtera plus cher à l’humanité que l’action écologique.
pensent qu’une solution qui favorise la préservation de leur santé les inciterait à modifier leurs habitudes ou à accepter un coût légèrement plus élevé.
Décarboner, dépolluer et régénérer les ressources
sont prêts à payer l'eau plus cher pour éliminer les micropolluants et réduire les risques pour la santé.
sont prêts à boire de l'eau issue d'eaux usées recyclées pour réduire le risque de pénurie d'eau.
sont prêts à payer un peu plus cher une énergie produite localement à partir de déchets non recyclables et de biomasse pour garantir l'approvisionnement énergétique de la région.
sont prêts à payer plus cher pour la décontamination des aliments, la protection des terres agricoles et la réduction des risques pour la santé.
Des solutions concrètes existent !
